mardi 10 mars 2015

Pavillons Lointains - M. M. Kaye

De quoi ça parle ?

« Des cimes enneigées de l’Himalaya aux palais des maharadja, de la Kyber Pass à Kaboul, ce roman retrace les années les plus tumultueuses du rattachement de l’Inde à l’empire britannique, au XIXème siècle. C’est aussi une émouvante histoire d’amour, au-delà des tourments et de la fureur de son époque, celle d’Ashton, un jeune anglais élevé comme un indien, et de Juli, une princesse indienne déchirée entre raisons de cœur et raisons d’Etat ».
  
A quel lecteur s'adresse ce livre ?
 Ce roman s’adresse aux dévoreurs et aux boulimiques-littéraire qui ne sont pas effrayés à l’idée de se lancer dans la lecture d’un roman de plus de 1000 pages. Ceci dit, le lecteur moins courageux pourra tenter l’aventure, car l’écriture fluide et agréable de M.M. Kaye font de ce livre un véritable page-turner.
Pavillons Lointains plaira tout particulièrement aux explorateurs, aux orientalistes et aux historiens, bref à tous les lecteurs qui ont envie de dépaysement et d’aventure.  
Pavillons Lointains raconte le destin sinueux d’un jeune anglais qui sera tour à tour un enfant des rues, la pupille d’un prince, un fugitif, un sahib anglais, mais surtout un homme tiraillé entre un sang anglais et un cœur indien.

Et le lecteur romantique dans tout ca ? Il ne sera pas en reste, car derrière la description d’une époque riche et complexe se cache une magnifique histoire d’amours contrariés. Les cœurs-de-guimauve retiendront leur souffle pendant une grande partie du livre, et en le refermant garderont un joli souvenir.
Bref, Pavillons Lointains est le roman du dépaysement, qui emmènera le lecteur dans les sommets enneigés de l’Himalaya, dans les sombres masures des paysans indiens, dans les plus beaux palais des maharadjas, puis dans les maisons des sahib anglais, et enfin sur des campements militaires lors de la révolte des Cipayes.

Le lecteur qui aimera ce livre sera sans doute un lecteur curieux et prêt à se laisser émerveiller

Un roman qu' Alexandra David Néel ou à Rudyard Kipling auraient aimé.

Et moi dans tout ca ? Retrouvez ma critique (élogieuse) personnelle sur Babelio en cliquant ici !

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