De quoi ça parle ?
"1878. Première fille à naître chez les Nachimanda depuis plus de soixante ans, la belle et fougueuse Devi est le trésor de sa famille. Elle se lie d'amitié avec Devanna, un jeune garçon brillant dont la mère est morte de façon tragique. Les deux enfants deviennent rapidement inséparables tandis qu'ils grandissent entre la jungle luxuriante, les collines verdoyantes et les plantations de café de la région de Coorg, dans le sud de l'Inde. Ils sont couvés par une large famille aux racines ancrées dans cette terre depuis des siècles.
Leurs destins semblent inévitablement liés ; mais tout change la nuit où ils assistent à un « mariage de tigre ». C'est là que Devi aperçoit pour la première fois Machu, le célèbre tueur de tigre, chasseur réputé."
Leurs destins semblent inévitablement liés ; mais tout change la nuit où ils assistent à un « mariage de tigre ». C'est là que Devi aperçoit pour la première fois Machu, le célèbre tueur de tigre, chasseur réputé."
Pour quel lecteur ?
Sarita Mandanna fait incontestablement partie de cette nouvelle génération d’auteurs indiens qui attirent l’attention d’un nombre grandissant de lecteur (je fais partie du nombre).
Le lecteur sentimental en aura pour son compte : en effet Les Collines du Tigre, roman souvent décrit comme étant le Autant emporte le vent indien, entraine le lecteur dans un tourbillon d’amours contrariés et de drames familiaux dont personne ne ressortira indemne. Pour ma part, j’ai souvent du mal à « supporter » les romans construits autour d’une histoire d’amour, principalement parce que souvent je ne les trouve pas crédibles et trop niaises. Ici, je n’ai pas du tout ressenti d’agacement. Les personnages grandissent, et leurs sentiments évoluent d’une manière tout à fait crédible et réaliste.
Sarita Mandanna fait incontestablement partie de cette nouvelle génération d’auteurs indiens qui attirent l’attention d’un nombre grandissant de lecteur (je fais partie du nombre).
Le lecteur sentimental en aura pour son compte : en effet Les Collines du Tigre, roman souvent décrit comme étant le Autant emporte le vent indien, entraine le lecteur dans un tourbillon d’amours contrariés et de drames familiaux dont personne ne ressortira indemne. Pour ma part, j’ai souvent du mal à « supporter » les romans construits autour d’une histoire d’amour, principalement parce que souvent je ne les trouve pas crédibles et trop niaises. Ici, je n’ai pas du tout ressenti d’agacement. Les personnages grandissent, et leurs sentiments évoluent d’une manière tout à fait crédible et réaliste.
Les penseurs pourront éventuellement trouver un thème de réflexion intéressant ; à savoir l’idée de pardon et de résilience. Je n’en dirais pas plus pour ne pas révéler le point central de l’intrigue, mais j’ai trouvé que certains sujets très difficiles sont abordés sous un angle différent et inhabituel.
Je conseillerais tout particulièrement ce livre à ceux qui aiment les sagas familiales et les secrets de famille. En effet, ce livre est largement bâti autour d’un non-dit, d’un secret qui détruit peu à peu les liens qui unissaient les personnages. Et pour ne rien gâcher, cette grande fresque familiale se déroule dans les forêts indiennes, près des grandes plantations de café, dans les collines du tigre.
A couper le souffle. Je le conseille vraiment si vous partez en vacances et que vous cherchez un roman pour la plage !
Pour lire ma critique (enthousiaste): cliquez là
Un roman qui plairait à Scarlett O'hara ou à Mary Margaret Kaye (dont j'ai chroniqué le roman Pavillons Lointains, que je ne conseillerais jamais assez!)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire